Mercredi, on annoncait l’opportunite que le mariage fasse desormais l’objet d’une rupture simplifiee, devant notaire, a tout le moins si le divorce intervient par consentement mutuel.
Un lecteur m’incitait a reagir, je n’en avais pas l’intention.
Par lassitude, decouragement. Parce que sans illusions.
Jeudi, j’ai eu le ravissement d’assister a la soutenance de these d’un brillant ami, Jean. Mon mari, aux convictions affirmees et « trans-clivages », avec lequel j’ai pu passer des diners en desaccord sinon violent, a bien le moins sonore, et qui a soutenu une these avec laquelle je devrais pouvoir, a l’inverse, me trouver en vigoureux accord.