Par son cote familial et son aspect eighties, qui renvoient a toutes les productions Amblin, la soiree centre dans l’Autobot jaune revigore la franchise de robots.

Par son cote familial et son aspect eighties, qui renvoient a toutes les productions Amblin, la soiree centre dans l’Autobot jaune revigore la franchise de robots.

Bumblebee, en salle le 26 decembre.

C’est peu dire que d’affirmer que la saga Transformers souffre de la reelle manque de moteur. Sorti a l’ete 2017, le cinquieme film d’la franchise robotique atteignait des sommets d’invraisemblances visuelles et scenaristiques. Cela prouvait aussi que le realisateur Michael Bay n’en avait decidement plus pas grand chose a Realiser et qu’il etait grand moment de ranger les Autobots et les Decepticons au placard. Neanmoins, c’etait beaucoup en gali?re connaitre le studio Paramount Pictures. La major hollywoodienne annonca dans la foulee un film derive centre dans le personnage de Bumblebee, sympathique sidekick jaune d’Optimus Prime, mais a la personnalite peu developpee. Si le projet n’avait rien de bien interessant de prime abord, tout a change quand Travis Knight, auteur du somptueux Kubo et l’Armure magique (l’un des plus beaux films d’animation de 2016), a decide de s’attaquer a ce autre opus, en salle depuis le 26 decembre. Resultat : le realisateur souffle un vent d’air frais via la saga en offrant un blockbuster leger et tout i  fait calibre Afin de les fetes de fin d’annee.

Loin des voyages dans le temps et autres peripeties tumefiees de Transformers 5, Bumblebee propose une affaire simple et efficace, qui laisse de nouveau place a l’emerveillement.